Le 12 mars, la PNH a perdu des hommes et des équipements à Village-de-Dieu. Le choc, terrible, amplifié par les réseaux sociaux, a bouleversé la population, pris de court le CSPN ainsi que l’état-major de la PNH.
Les chefs, loin d’être proactifs, n’ont pas pris l’ampleur de cette crise dont la mauvaise gestion était potentiellement préjudiciable à l’image de la PNH.
Le président Jovenel Moïse, le directeur général a.i de la PNH Léon Charles, le Premier ministre Joseph Jouthe se sont exprimés mais ont platement
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous