Depuis le mois de janvier, les journalistes sont devenus la cible privilégiée de policiers lors des manifestations. Rien que la semaine écoulée, trois journalistes couvrant des mouvements de protestation ont été blessés par balle et par des bonbonnes de gaz lacrymogène. Face à cette situation, les Nations unies sont dit préoccupées « par l’utilisation disproportionnée de la force contre les journalistes ». Pour sa part, l’OPC invite l’Inspection générale de la police à statuer sur les cas d'exaction
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