À l’approche du 7 février, le spectre de la violence hante l’esprit de la population haïtienne. Les gens ont peur. Ceux qui ont les moyens s’approvisionnent en produits de première nécessité au cas où le pays aurait à faire face à un nouvel épisode de «peyi lòk». L’opposition politique appelle à la désobéissance civile si après le 7 février le président Jovenel Moïse persiste à rester au pouvoir. Parallèlement, la population continue de payer le lourd tribut de l’insécurité et du kidnapping.
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