« Faute de grives, on mange des merles. Toutefois, il n’est pas obligatoire de consommer des espèces animales chétives », soutient Jean-Dieuseul Laguerre, le PDG de la ferme agricole Plantes et Services de Petite-Rivière des Nippes. Avec les variétés indigènes, il y a, souligne-t-il, le moyen d’obtenir des sous-espèces plus charnues et plus robustes. Il laisse entendre que c’est plus rentable pour le producteur qui, plus est, offre une plus large variété de choix au consommateur.
À ce niveau, explique le responsable, l
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