Roland Léonard
La scène Barbancourt, à l’UNIQ, ce soir du 21 janvier, nous inquiète beaucoup ; le public est clairsemé : il y a des rumeurs politiques, les rues sont chaudes. Viendra-t-il plus de monde un peu plus tard ?
C’est sans compter avec la passion dévorante des amateurs pour laquelle ils bravent tous les dangers : celle du jazz, de son évangile, de son humour et de ses facéties. La cour se remplit peu à peu de bonnes têtes qui nous rassurent.
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