D’abord, l’OPC rappelle à l’exécutif qu’il existe déjà des institutions étatiques chargées de rechercher et de réprimer les auteurs d’actes criminels pouvant porter atteinte aux droits fondamentaux et à la sécurité nationale. « Les compétences et attributions de l’ANI devraient se focaliser sur un cadre de complémentarité dans le souci de contribuer effectivement à la mise en place d’un mécanisme adéquat et efficace visant à combattre la criminalité dans toutes ses dimensions », analyse l’OPC dans le document dont Le Nouvell
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