Jusqu’au 26 novembre 2020, le président Jovenel Moïse était dans les bonnes grâces de ses amis de la communauté internationale. Mais au moment où, deux ans après, son administration n’a rien fait de concret contre le massacre à La Saline et dès lors qu'il a publié deux décrets créant l’Agence nationale de l’intelligence et sur le Renforcement de la sécurité publique, le chef de l’Etat a été sévèrement rappelé à l’ordre par l’ONU et les principaux ambassadeurs accrédités au pays. Jovenel Moïse maintient sa décision et tente de rassurer
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