Quand Casimir m’a annoncé en trombe la nouvelle de sa mort prématurée, cet après midi-là au journal, je suis resté un moment immobilisé, ahuri, en perte de mots. Je ne croyais mes oreilles, j’entends plutôt l’artiste demander une cigarette ou encore répondre à Casimir une question sur un ton prémonitoire : « Je suis en train de monter l’Atelier Collectif de beaux arts à Fermathe, où je forme des jeunes à devenir des artistes comme moi. Si je mourrai, puisque je dois mourir, je meurs généreusement ».
Je ne conn
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