Le pays sombre dans le désespoir. Peut-être, seuls le président Jovenel Moïse, ses conseillers et ceux qui jouissent du pouvoir ne le voient pas ou refusent de l’admettre en public. Les cas de kidnapping en série des derniers jours sont la goutte d’eau qui fait déborder le vase. En dépit de la gravité de la situation, on ne sent chez les autorités ni l’envie ni la volonté de donner une réponse proportionnelle à la situation. Peut-être qu'elles ne font pas exprès, qu’elles sont tout simplement incapables. Au moins, elles doivent l’admettre
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous