Maradona, le divin rebelle, s’en est allé

Il est parti sans un éclat.

Frantz Duval
Par Frantz Duval
25 nov. 2020 | Lecture : 2 min.

Il est parti sans un éclat. Sans bruit. D’une crise cardiaque. Et un cri s’est élevé, non pas d’un stade, d'un pays ou d'un continent. Non. Le gamin en or a provoqué une clameur mondiale.

Pas de joie. D’effroi.

Au-delà de la planète football.

Les dieux meurent donc aussi.

De partout, ceux qui aimaient le voir, ceux qui le détestaient, ceux qui l’ont toujours redouté et même ceux qui ne s’intéressent nullement au football, ont pris une seconde pour exprimer leur étonnement, leurs regrets, le

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous