Face à la recrudescence des cas de kidnapping, la banalisation des crimes de sang, la prolifération de gangs disposant d’armes de guerre, l’abandon du territoire par les pouvoirs publics, la mal gouvernance, la précarité socioéconomique, l’acceptation plus que tacite du « bandit légal », le pire devient un horizon indépassable. Le pire s’impose à nous, presque comme des évidences tristes et assommantes.
Au déni du réel, vaine résistance, il y a cet inventaire implacable, l’additi
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