Dans la rue principale à l’entrée de la ville, une pancarte, sur la droite, devant ce qui semble être un bouiboui: « kite m viv / bwè kleren se libète / ale di yo sa ». Elle jure avec les « Jésus / Christ / L’Eternel » qui complètent les noms des multiples bric-à-brac, quincailleries, bazars. Dieu et l’alcool. Deux refuges qui se livrent une rude concurrence pour ceux qui veulent s’éloigner de la réalité. Ici, ils peuvent faire la paire, c’est un Dieu très accommodant : ce ne sont pas les « Jésus biè