À Port-au-Prince, au Cap-Haïtien et ailleurs, les assassins écrivent jusque dans les marges de ce livre noir.
Leur traîne dessine l’immonde, le funeste, la tragédie de ces corps criblés de balles, entourés de curieux passifs, de parents sous le choc et de la police qui arrive toujours après.
Comme une vieille rengaine, quasiment un aveu d’impuissance, le président Jovenel Moïse, dimanche, a dégainé des mots, étalé sur tous les tons ses préoccupations et son insatisfaction de la performance de ses troupes dans la lu
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