Le président Jovenel Moïse est en deuil. Il a perdu son père. Alors qu’il reçoit de partout des condoléances, il doit à son tour, à l’occasion de l’assassinat de Grégory Saint-Hilaire, présenter les siennes aux parents, amis, à la communauté étudiante et universitaire.
Grégory Saint-Hilaire est cet étudiant abattu vendredi après-midi à quelques mètres du bureau du président, dans l’enceinte même de l’École normale supérieure (ENS) alors que lui et quelques autres manifestaient pour réclamer que le ministère de l’Éducation n
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous