Des cris explosent dans les masques. Ces instruments de protection ne filtrent pas la colère. Ils n’ont pas cette propriété. Des cris d’hommes et de femmes sourdent des entrailles bouillonnantes et libèrent des larmes aux yeux. À la rue Rivière, un mur parle aux passants de notre tragédie collective.
Un mural signé de quatre graffeurs – Francisco Silva, Elysée Hamson (ASSAF), Laurent Philippe (PENS), Raynald Beaufort (RAYZA) – porte des cris sous les masques protecteurs d’un homme et d’une femme. Cette
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