Il ne reste quasiment plus que le « secteur formel des affaires », appellation quelque peu prétentieuse, à ne pas s’être prononcé pour le départ de Jovenel Moïse du pouvoir et la production d’un accord national organisant la transition vers de vraies élections démocratiques. Si des associations professionnelles et certains secteurs religieux ne se sont pas prononcés formellement, on entend parmi eux des voix allant dans le sens de la volonté majoritaire.
Des institutions du secteur formel des affaires avaient pourtant