Le Nouvelliste : Vous avez été ministre en Haïti, quelle est la plus grande différence entre faire de la politique en Haïti et la faire en République dominicaine ?
Edwin Paraison : Dans mon cas particulier il importe de préciser que j’ai toujours assumé le fait d’être en premier lieu un chrétien épiscopalien ayant le devoir de servir et d’assister les plus vulnérables. Ma désignation par le Premier ministre Jean-Max Bellerive et le défunt président Préval ne répond aucunement à une militance politique
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