Le Bureau intégré des Nations unies en Haïti (BINUH) se dit préoccupé face à la recrudescence de l’insécurité dans les quartiers populaires. Dans un communiqué publié ce 12 août, l’organisme dirigé par Helen Lalime demande aux autorités d’assumer leurs responsabilités. Selon le BINUH, tous les auteurs des actes de violence doivent être traqués par la police et la justice. Le communiqué du BINUH a mis un accent particulier sur l’ancien policier converti en chef de gang Jimmy Chérizier, réputé proche du pouvoir. « Nous encourageons
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