La démission des huit membres du Conseil électoral provisoire constitue une barrière au président de la République dans sa volonté d’organiser des élections en vue de se pérenniser au pouvoir, de l’avis de plusieurs organisations politiques de l’opposition. Des structures politiques comme Fusion, OPL, VERITE, AAA, INITE, le Secteur démocratique et populaire, entre autres, qui ne jurent que par la démission de Jovenel Moïse, saluent cette décision des membres du CEP.
Ces partis et organisations politiques de l’opposition, dans un