« À qui veut l’entendre, ils ne peuvent pas prendre le pouvoir entre nos mains !» Et pourquoi pas ? « Je n’ai d’ennemis que ceux de la nation ». Ou encore : « Je suis le drapeau haïtien, un et indivisible ». Ou, dans le registre menaçant : « Si yon nonm konprann pou w bat kò w, m ap fè b… pase nan paswa ».
On aurait tort de croire que le délire autoritaire n’est jamais que délire. La seule activité réelle de Jovenel Moïse aujourd’hui consiste à tenter de se donner les moyens