Une nouvelle fois, le gouvernement haïtien a haussé le ton, menacé et même agi pour tenter d’influencer, de manière non économique, le cours du taux de change en Haïti.
Cela a commencé le lundi 22 juin quand le président Jovenel Moïse a dénoncé devant l’opinion nationale les revenus élevés des banques commerciales qui gagnent des millions sur les opérations de change alors qu’elles ne sont pas des maisons de change.
Le dernier jour ouvrable avant la déclaration du président, c’est la Banque de la République d’Haïti (BR