C'est dans une quête de sens que John Wesley Delva a saisi le pouvoir des mots. “Dans l'immédiat après le séisme qui m'a particulièrement fait souffrir, je n'ai pas trouvé mieux comme exutoire que les mots que j'accouche sur du papier", dit-il. La frénésie est telle que d'ici la fin de cette année sombre, il publie “Des rêves ensanglantés".
Le présentateur à Radio Caraïbes n’est pas de ces poètes du dimanche qui affichent une posture que pour épater la galerie. “Tous les jours je me retrouve à trouver
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