Ce jeudi, des files de véhicules étaient visibles dans des pompes à essence de la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Entre les tap-tap, les taxis-motos, les automobilistes en panne sèche, venus à pied, personne n'a oublié d'apporter leur « galon jòn ». Pour en avoir. Ou pour en avoir un peu plus si la rareté revient.
Si le tanker avec 250 000 barils de gazoline est à quai depuis mardi après-midi, l’opération pour déporter le produit lancée, les utilisateurs des produits pétroliers prennent leur mal en pat
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