Lundi 15 juin 2020. Le soleil a pris congé depuis au moins deux bonnes heures. Sur Péguy-Ville, l’étau de la chaleur se desserre. Un petit tourbillon provoqué par le cisaillement des vents de la plaine du Cul-de-Sac et des hauteurs de Diègue flirte avec les arbres majestueux de la rue A. Q.
En la résidence de Farah Martine Lhérisson et de son compagnon Lavoisier Lamothe, c’est un soir comme un autre. Le personnel de maison pose des gestes cent fois répétés à la cuisine et dans la salle à manger. Laurent
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