Appel aux sociétés civiles du monde : une politique raciste

Il n’y a pas d’autre nom pour qualifier l’attitude de tout représentant d’un pays étranger ou d’une institution internationale qui défendrait l’idée que le mandat de Jovenel Moïse s’achèverait en 2022 plutôt qu’en 2021.

Antoine Lyonel Trouillot
Par Antoine Lyonel Trouillot
16 juin 2020 | Lecture : 3 min.

Il n’y a pas d’autre nom pour qualifier l’attitude de tout représentant d’un pays étranger ou d’une institution internationale qui défendrait l’idée que le mandat de Jovenel Moïse s’achèverait en 2022 plutôt qu’en 2021. Il y a une jurisprudence appliquée par Jovenel Moïse lui-même, et la Constitution est claire.

Qui de l’international veut que Jovenel Moïse reste encore au pouvoir et pourquoi ?

Il y a des raisons d’enrichissement personnel. Depuis plus d’une vingtaine d’années, alors que la situation du pays

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