J’ai résisté pendant longtemps, et non sans regret et une certaine amertume, aux sollicitations venues d’horizons divers afin que je m’exprime publiquement sur la question relative au terme du mandat du président Jovenel Moïse. Je remercie de leur appréciation et de leur confiance ceux qui, en majorité, ont cru opportun de manier des propos flatteurs. Mais je comprends leur curiosité interrogative et leur impatience quant à un silence qui n’était pas une forme de coquetterie intellectuelle dont je n’ai p
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