Jusqu’au bout...   

Les concerts d’armes automatiques, l’incendie de logis, l’abandon de corps criblés de balles dans la rue ou sur un petit lit de pierres et d’immondices sont le lot de certains habitants de quartiers du littoral de Port-au-Prince.

Par Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
28 mai 2020 | Lecture : 4 min

Les concerts d’armes automatiques, l’incendie de logis, l’abandon de corps criblés de balles dans la rue ou sur un petit lit de pierres et d’immondices sont le lot de certains habitants de quartiers du littoral de Port-au-Prince. Au nord comme au sud.

Les scènes d’une insoutenable cruauté, presque semblables à celles observées dans des pays où des assassins sans foi ni loi ont frappé, n’émeuvent presque plus. 

Le bain de sang perpétré au Pont-Rouge dimanche 24 mai 2020 a été

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