Le Nouvelliste (L.N.) : Vous avez été subjuguée par L’espace d’un cillement, roman de Jacques Stephen Alexis publié en 1959 chez Gallimard. Alexis a été récompensé, en 2018, à titre posthume, pour ce chef-d’œuvre par le premier prix Jean d'Ormesson de l’académie française. Quel est la place de ce roman dans votre univers de lectrice et de critique littéraire?
Valérie Armand : Ce grand roman de Jacques Stephen Alexis fait partie de mon univers dès j’ai l’âge de seize ans. &nb