En guise de dédicace au préambule de « Fêlures », le poète fait appel à une histoire esquissée. Dans les années 30 sur l’île jouxtant la Corse, la Sardaigne, son grand-père Umberto Angei qui se voit accuser à tort, reconnaît l’auteur, est condamné à six ans de prison. A la veille de sa libération, il est mort dans sa cellule, à cause d’un empoissonnement alimentaire. C'est la version officielle. Traquée par cette injustice tout au long de sa vie, dans ses pensées abstraites, le soir, l’auteur de « Fêlures » entend