Des centaines d’Haïtiens qui vivaient en République dominicaine traversent le poste frontalier de Belladère tous les jours en direction d’Haïti. Alors que le coronavirus fait rage en territoire voisin, ces compatriotes, grignotés par la misère résultant de l’arrêt forcé des activités économiques, reviennent au bercail. Certains de manière volontaire, d’autres contre leur gré et déportés par l’immigration dominicaine. Dans ce poste frontalier, où le marché binational tourne au ralenti depuis le début de la crise, l’afflux des migrants
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