La nouvelle de la disparition du professeur A. DUROSIER a provoqué une onde de choc dans le monde universitaire. Elle laissera difficilement indifférents ceux qui l’ont vraiment connu. A l’Université où je l’ai eu comme enseignant d’abord puis comme collègue, il s’est toujours comporté comme un maitre, un collègue, un conseiller, un ami. Un(e) étudiant (e) pour lui, c’était : « ma fille, mon fils ». Et ce n’est pas seulement à cause de sa représentation héritée de son passé de prêtre (qu’il est toujours rest
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