« Les gens vivent l’oreille collée à leur téléphone portable comme un cœur d’appoint », écrivait le poète Georges Castera. C’est à la fois folie et sagesse de demander à des milliards d’êtres humains de se confiner chez eux, de ne pas se livrer à leurs activités quotidiennes.
Voilà qu’au nom de sa survie, l’humanité, espèce sociale, ne semble avoir pour arme que la désocialisation.
Emprisonnement émotionnel pour ceux qui ne partageaient plus qu’agressivité et indifférence. Ils doivent inventer des techniques