Le concert d’armes automatiques qui a commencé dimanche au soir s'est poursuivi aux premières heures de la matinée, à l’entrée sud de Port-au-Prince, lundi 16 mars 2020. « C’était terrifiant », a confié en sanglots un homme, peu après 7 heures du matin. « J’ai dû forcer ma femme et les enfants qui m’accompagnaient à fuir. Je suis resté seul dans ma voiture, coincé dans un embouteillage », a-t-il lâché, exaspéré parce que la mort peut être au bout de ce trajet que l’on fait avec le cœur au fond de la gorge. &nb
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