Le grand oral sur Haïti au Conseil de sécurité de l'ONU n’a pas été agrémenté d’informations sur des améliorations significatives. Loin s’en faut. Le tableau est sombre dans presque tous les domaines. La militante des droits de l’homme Marie Yolène Gilles, l’une des responsables de la Fondation Je Klere, et la représentante du secrétaire général de l’ONU en Haïti Helen La Lime ont peint un climat de la détérioration des droits humains et d’affaiblissement de l’Etat de droit.
Sans détour, Marie Yolène Gilles, citée dans
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