C’est avec fracas que la tragédie avait frappé, ce mardi-là, le 12 janvier 2010, aux portes du Centre technique Saint-Gérard (qui allait devenir l’Université Saint-Gérard). « Environ deux cent cinquante étudiants », y compris le directeur général, Roudolph Larosilière, ont été broyés par le séisme qui a ravagé Port-au-Prince et qui a particulièrement provoqué l'effondrement de leur bâtiment de sept étages.
« On s’était dit qu’on allait recommencer. On avait contracté des dettes énormes. On n’avait
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