« Les choses vont comme elles vont/ De temps en temps la terre tremble/ Le maheur au malheur ressemble / Il est profond profond profond ». La terre, il peut suffire d’une fois pour que des milliers de vies s’arrêtent, que des villes soient détruites. A Port-au-Prince et dans d’autres villes, il y a une vie d’avant et une vie d’après le séisme de 2010. Deux vies en une seule pour les survivants que nous sommes. Nous ne pouvions imaginer que des parents, des amours, des amis allaient en quelques secondes s’inscrire parmi