Prendre ou ne pas prendre le train

L’opposition au plus fort du «peyi lòk» avait refusé de rencontrer le président Jovenel Moïse ou ses émissaires.

Frantz Duval
17 déc. 2019 — Lecture : 2 min.

L’opposition au plus fort du «peyi lòk» avait refusé de rencontrer le président Jovenel Moïse ou ses émissaires. Sa réclamation a toujours été claire et précise : tout commencera par la démission du chef de l’État.

Ce mardi, à l’initiative de la Binuh, la mission des Nations unies qui a remplacé la Minustah, une rencontre s’est tenue à la nonciature apostolique dans les hauteurs de Morne-Calvaire.

Comme annoncé, les tenants de l’opposition radicale ont brillé par leur absence. Les alliés du pouvoir en place et des part

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