Le pays vit une trêve qui ne dit pas son nom. Aucun camp n'en avait fait la demande ni ne revendique une pause. C'est un constat. Nous vivons une trêve.
Cela n'empêche qu'après les coups de l'opposition pour multiplier les opérations de peyi lòk et les appels à la démission de tous les élus, c'est au tour du président Jovenel Moïse de faire des coups pour démontrer qu'il reprend la main.
Et tout va vite.
Samedi, après l'enterrement de sa belle-mère dans le Nord-Ouest, le président s'est offe