À Cité Soleil, la paix n’est pas qu’à l’épreuve des ambitions de lieutenants qui se frayent un passage au sommet du gang à coups de revolver comme Ti Joseph. Il y a un vrai jeu entre le pouvoir et l’opposition pour calmer ou pour attiser la colère des habitants du plus célèbre bidonville d’Haïti.
Là-bas, les chefs de gangs armés ont comblé le vide laissé par l’État. Régnant sur les 34 quartiers de l'un des plus grands bidonvilles de la capitale, ils ont leurs codes, « font du social », distribuent la « justice&nbs
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous