«Ce jour n’est pas juste un jour de plus à ajouter dans notre patrimoine mémoriel. Il s'agit d'un véritable enjeu social. Quelle place aménage-t-on au vivre-ensemble dans notre société, mais aussi et surtout, au plus vulnérable ? En effet, la civilisation moderne ne s’édifie pas sur la loi du plus fort. Elle est plutôt bâtie sur le principe de dignité et de droits humains», a d’emblée déclaré le secrétaire d’État à l’Intégration des personnes handicapées, Oriol Gérard Junior. À en croire M. Oriol, la célébration du 3 décembre est un b
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous