La crise s’enlise. Le président Moïse s’invente une réalité. Le gouvernement Lapin dégaine des mots. Il donne la garantie de sécuriser les vies et les biens, de libérer la voie publique.
Son ministre de l’Intérieur, fraîchement abonné à la phraséologie des hommes forts, promet, une nouvelle fois, que la police et la justice vont pratiquer la tolérance zéro contre les casseurs et les pillards. Il a oublié de dire que les tribunaux sont fermés, que les juges sont priés de rester chez eux pour cause d’insécurité. Et que
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