A Port-au-Prince comme dans les villes de province, les groupes armés sont très fréquents et souvent imposent leur loi sur des routes nationales. Ils sont environ 76 gangs armés répertoriés à travers le territoire par la Commission nationale de désarmement, démantèlement et de réinsertion (CNDDR). Un membre du gouvernement démissionnaire a confié au Nouvelliste que parmi ces 76 groupes armés, au moins trois d’entre eux sont à la solde du pouvoir, « le reste est le sous le contrôle d’un ancien député et des sénateurs de l’opposition »
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