« Ferme les yeux, ouvre la bouche, avale » publié en 2017 peut être considéré comme un réquisitoire face à tous les fléaux qui encombrent une couche de la population mondiale qui vit dans la crasse, l’indignité, l’opprobre, les déceptions, la mendicité, l’incertitude et des formes de prostitutions les unes plus infamantes que les autres. Avec des sous-titres cinglants, Frédéric Boisrond affirme son intronisation dans la sociologie de l’action en mettant le cap sur des inconduites macabres d’une élite en faillite. Parado
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