Que ce soit dans le département de la Grand'Anse ou dans l’île de la Gonâve, on flaire une crise humanitaire un peu partout dans le pays après plus d’un mois de paralysie quasi-totale des activités économiques du pays due notamment aux mouvements de protestation déclenchés par l’opposition réclamant le départ du président Jovenel Moïse du pouvoir. Face à cette crise humanitaire qui menace la République, le pouvoir en place avait déjà, le mois passé, crié « famine » en tendant la main à Washington. C’est pour faire suite à c
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous