Le président Jovenel Moïse s’est ravisé. Il n’aura pas tenu la promesse faite aux membres de la commission présidentielle créée pour faciliter le dialogue. Tout ne peut pas être sur la table, surtout son mandat. En un mot, plus besoin des négociations de la dernière chance sur fond d’importantes manifestations populaires et de semaines de « peyi lòk ».
Au Palais national, mardi, le président a sonné le glas de cette commission. « La Constitution est claire. La population m’a voté lors des dernières élections. La C
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