Des gallons jaunes en plein combat, des animaux déçus réclamant une meilleure utilisation de leurs noms attribués à des politiciens véreux... Ces deux dessins satiriques égayent les murailles de la rue Baussan. Derrière eux, un jeune graffeur qui garde les pieds au coeur de l'actualité du pays, traduite notamment par une rareté endémique de carburant et une lutte acharnée dans les stations à essence. Tchooko, de son vrai nom Patrick Edouarzin, est ce mordu des graffitis qui croit fermement que cet art peut être porteur de messages. « Un mess
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