Le mois de septembre ne porte pas chance à Haïti. En 1991, sept mois après une élection triomphale, le premier président démocratiquement élu après la dictature des Duvalier laissait le pouvoir après un coup d’Etat sanglant. Les suites, entre répression, embargo et retour du président accompagné de l’armée américaine, marquent encore notre trajectoire de peuple. On ne s’en est jamais vraiment remis des fractures de 1991.
Ce 30 septembre 2019, 28 ans après le coup d’Etat contre Jean-Bertrand Aristide, la démocratisation continue
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