« À la frontière du texte », la grande première du film d’Arnold Antonin

Après sa dernière réalisation sur l’une des figures de proue de la littérature haïtienne, « René Depestre, on ne rate pas une vie éternelle », le réalisateur Arnold Antonin jette son dévolu sur le grand poète haïtien Anthony Phelps.

Eunice Eliazar
Par Eunice Eliazar
13 sept. 2019 | Lecture : 3 min.

Après sa dernière réalisation sur l’une des figures de proue de la littérature haïtienne, « René Depestre, on ne rate pas une vie éternelle », le réalisateur Arnold Antonin jette son dévolu sur le grand poète haïtien Anthony Phelps. Auteur du remarquable recueil de poèmes : « Mon Pays que voici », l’œuvre et la vie de ce nonagénaire ont été portées à l’écran dans la salle Unesco de la Fokal, les mercredi 11 et jeudi 12 septembre 2019 en présence du réalisateur et des diplomates français, japonais, chilien, cubain et all

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