Après sa dernière réalisation sur l’une des figures de proue de la littérature haïtienne, « René Depestre, on ne rate pas une vie éternelle », le réalisateur Arnold Antonin jette son dévolu sur le grand poète haïtien Anthony Phelps. Auteur du remarquable recueil de poèmes : « Mon Pays que voici », l’œuvre et la vie de ce nonagénaire ont été portées à l’écran dans la salle Unesco de la Fokal, les mercredi 11 et jeudi 12 septembre 2019 en présence du réalisateur et des diplomates français, japonais, chilien, cubain et all