Tout commence après 11 heures a.m. Les habitués du Parlement sont contraints de partager l’espace avec une centaine d’hommes, présentés comme des « militants politiques », débarqués par dizaines dans les grosses cylindrées des parlementaires de l’opposition. À peine dédouané, ce groupe se met au travail en insultant et en intimidant les proches du pouvoir qui, au nom de la loi de la majorité, espéraient faire passer sans ambages le gouvernement de Fritz William Michel.
Ils étaient en train d’exécuter cette « sale