Le décor, ce lundi, n’a pas changé. À Port-au-Prince et dans ses environs, la page de la pénurie d’essence n’est pas encore tournée, a constaté le journal. Les moins chanceux, obligés de squatter des stations d'essence vides, ont parfois assisté à des conflits pendant lesquels des consommateurs se sont défoncés à coups de gallons.
Les pompes, sous le feu des critiques et des accusations d’entretenir la pénurie afin de vendre plus cher au marché noir, ne peuvent pas être des boucs émissaires, a indiqué le patron de
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